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Misc. Notes | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
- Une première demande de brevet d’imprimeur lui avait été refusée en 1852. - Ardent bonapartiste, sous le second Empire, il est fonctionnaire du régime impérial pendant 18 ans : Successivement commissaire de police à Lunel (1854-1858), Sète - Cette (1858-1859), Limoux (1859), Chambéry (1867), Agen (1869) ; commissaire central de police et de chemin de fer à Sète (1869-1870). In Journal des commissaires de police (BnF-Gallica) 1855, 1856, 1858, 1859, 1860, 1867, 1869. - Suite à la révolution du 4 septembre 1870, il est suspendu de ses fonctions de commissaire central de police à Sète par le Préfet de l’Hérault le 7 septembre 1870, et décide de revenir en Corse. - Joseph POMPÉANI commence à travailler comme pressier dans l’imprimerie ajaccienne de son beau frère Pierre LLUIS. Puis il s’associe avec lui et fait sa seconde déclaration d’imprimeur en lettres le 26 septembre 1871. Imprimerie POMPÉANI et LLUIS (1871-1897), première imprimerie indépendante.736, pages 260 à 268. - En août 1874, il crée dans son imprimerie l’Écho d’Ajaccio, Journal de l’Appel au Peuple (nom du groupe parlementaire bonapartiste) dont il est l’unique propriétaire gérant.736 - En vertu d’un arrêt de la cour d’appel de Bastia rendu le 16 mars 1875, la société POMPÉANI et LLUIS est dissoute à partir du 31 mai 1874 : Joseph POMPÉANI reste seul propriétaire et gérant de l’Imprimerie.736 - Le 6 novembre 1875, l’Écho d’Ajaccio devient l’Aigle qui disparaît à son tour en 1886.736 - Entre 1871 et 1897, l’Imprimerie POMPÉANI fut l’une des plus importantes en Corse, en se plaçant au quatrième rang pour le nombre d’ouvrages (295 publications recensées). - Au décès de Joseph POMPÉANI, l’imprimerie devint la propriété de son neveu Jean Louis LUIS (1854-1936) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Last Modified 24 Jul 2015 | Created 11 Dec 2022 using Reunion for Macintosh |