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Misc. Notes | ||||||||||||||||||||||||||||||||
ATTENTION FICHE actuellement composée d’éléments hétéroclites TENTATIVE toujours EN COURS, de recherches, et de synthèse de sources trop contradictoires, afin d’essayer de distinguer le VRAI du FAUX dans cette affaire si confuse, à élucider, où tout est mélangé !? - A) LES FAITS avérés : - En l’année 1713, nous sommes partis de Cadix pour le voyage de la mer du Sud sur la frégate Notre Dame de Lorette, dont nous étions capitaine et directeur ; que de Lima au Pérou nous avons fait route pour les côtes de la Chine ; - qu’au mois de janvier 1716 nous sommes arrivés à Macao, et de là à Canton, capitale de la province de Chine où nous sommes restés environ dix mois ; que nous y avons connu le père de Goville, supérieur d’une Mission...922, pages 40 et 41. - 17 octobre 1720 : Arrêt du Conseil d’Etat du roi qui casse et annule la procédure faite par les officiers de l’amirauté de Saint Malo, contre le sieur de LAAGE, commandant la frégate la Notre Dame de Lorette de Nantes. - 1721 : brevets de capitaine de vaisseau, signés de la main du roi, in papiers de Famille DELAGE, aux archives de Vendée (série 1E).923 * L’imprimeur/éditeur de ses Mémoires, François GIRARDI à Amsterdam, qui a été assez heureux pour avoir une copie du Journal que M. le Chevalier de LAGE a fait pendant la Campagne Navale de 1744, reconnaît que pour ne pas grossir le volume il n’a (malheureusement) pas voulu y joindre le Journal du Vaisseau de guerre espagnol de 68 canons le Saint Isidore (San Isidoro ou San Isidro) dont le Roi d’Espagne avait donné le commandement au capitaine de vaisseau Gilles Ferdinand (sic) de LAGE de CUEILLY le 1er août 1741. On peut donc espérer que ce précieux journal existe encore quelque part dans un service d’archives de la marine espagnole ou française ? GIRARDI s’est simplement contenté de joindre la traduction de l’espagnol du Certificat de Service, pendant cette Campagne, donné par Don NAVARRO.924, pages IX et ss. : L’escadre surprise le 17 février 1743 auprès des Iles d’Hyères par une tempête, les vents étant au Nord-Ouest, où plusieurs mâts furent rompus. Le Saint Isidore perdit les siens et fut si maltraité qu’il était en très grand danger de couler bas, ayant la cale pleine d’eau. Cet accident obligea M. de LAGE, pour alléger son vaisseau, de faire jetter à la mer dix huit canons, avec toutes ses ancres. Par ce moyen et par son travail immense et continuel il eu l’avantage de conduire son vaisseau au port d’Ajaccio, dans l’Ile de Corse, le 24 février 1743. Il s’y racommoda de la meilleure manière qu’il était possible jusqu’au 16 octobre de la même année, qu’il entra dans le port d’Ajaccio deux vaisseaux ennemis avec un schabeck, afin d’enlever le Saint Isidore qu’ils croyaient désarmé. Mais l’ayant reconnu garni d’hommes, par les recrues que le Capitaine avaient faites, ils se retirèrent sans oser l’attaquer. Cependant M. de LAGE craignant quelqu’autre nouvelle de la part des ennemis mis son vaisseau en état de sortir à la mer, mais il fut prévenu par les Anglais qui entrèrent en Ajaccio le 1er mars 1743 avec une escadre de cinq vaisseaux de ligne, un schabeck et un Brulot. Ils approchèrent du Saint Isidore le jour suivant (2 mars 1743) à la portée du pistolet, sans que M. de LAGE pût les empêcher pour ne pas violer la neutralité du port. Les Anglais l’envoyèrent sommer alors de leur rendre son vaisseau. Mais il le refusa avec fermeté, et soutint le combat qu’ils lui livrèrent.924, pages XIIj, XVj, XVIj. Cependant, un quart d’heure avant l’action, les chemises soufrées étaient déjà attachées à tous les mâts du vaisseau, afin de le brûler plutôt que de le rendre. J’envoyai même ma chaloupe à l’hôpital pour y prendre une vingtaine de mes malades convalescents, qui s’embarquent sans réticence, quoiqu’ils vissent que j’allais me battre jusqu’à la destruction totale du batiment, et qu’ils n’échapperaient point aux flammes, s’ils étaient blessés. Je fis en même temps porter à terre une douzaine d’enfants qui m’étaient inutiles dans le combat, et qui n’auraient pu se sauver. Mon attention a toujours été de n’exposer que ceux, qui doivent l’être, et de prendre toutes les précautions nécessaires pour les conserver en gens d’honneur, et non pas de les faire rendre comme des poltrons.924, pages 44, 45 Voyant cependant qu’il lui était impossible de résister à des forces si supérieures, et que la Citadelle, ni la Place ne prenaient point sa défense : pour ne pas livrer ni le Pavillon, ni le Vaisseau du Roi à ses ennemis, il y mit le feu, et se sauva à terre avec son équipage. Lorsqu’il prévit qu’il serait attaqué par les Anglais, il voulut établir des Batteries à terre pour défendre son vaisseau ; mais on lui refusa toujours tout ce qu’il demanda pour la conservation de son vaisseau et de son équipage. Depuis cet événement M. de LAGE est revenu à Toulon, où il a été mis au Conseil de Guerre, pour y examiner sa conduite, et par les procédures il conste de la vérité de tout ce qui a été rapporté et que sa Majesté l’absout de toutes les accusations dont les Génois l’avaient chargé, et lui a accordé la permission d’aller à Paris pour trois mois. Afin qu’il conste, où il sera nécessaire de tout ce dessus, j’ai donné la présente déclaration à bord du vaisseau le Royal, dans la petite rade de Toulon, le 26 octobre 1743. Signé Don Juan Joseph NAVARRO, et scellé du cachet de mes Armes. Source : 924, pages XVIIj et ss. - Un plan (taille réelle 53x64 cm) de la rade et du Golfe d’Ajaccio qui montre comment les anglais ont attaqué le navire San Isidoro en 1743 est conservé à : Archivo General de Simancas. Signatura: MPD, 11, 010. Ubicación Anterior: SMA, 00436, 01 http://www.mcu.es/ccbae/en/consulta/registro.cmd?id=179503 . En A, est représenté le San Isidoro, a environ 35 toises du rivage, ayant à tribord ses trois chaloupes pour faire le débarquement. Lorsque l’on y mettrait le feu, les chirugiens et aumônier étant établis dans la grande chaloupe pour y recevoir les blessés. . En B, le commandant anglais William MARTIN (sur l’Ipswich, vaisseau de 74 canons), à portée de pistolet du Saint Isidore. . En C, le 2ème vaisseau de la même grandeur (sans doute le Revenge, vaisseau de 74 canons) embasé (?) sur la même ligne à égale distance. . En D, le 3ème vaisseau de 44 canons embasé remplissant le vide à portée de fusil. . En E, le 4ème vaisseau de 60 canons étant vent arrière par un petit vent qui commençait à venir de la mer remorqué par trois chaloupes à la portée d’une carabine. . En F, Chabek ou galiotte à rames à portée d’un boucanier. . En G, un canot de commandement d’observation à rames laissé apparemment pour servir de guide à ceux qui venaient à la voile pour battre par la poupe le Saint Isidore, et empêcher le débarquement lorsqu’on voudrait mettre le feu au vaisseau. . En H, le 5ème vaisseau de ligne où était embarqué Théodore (de NEUHOFF) qui avait assemblé 1500 hommes, tant infanterie que cavalerie sous les ordres de Don Luca d’ ORNANO (1704-1779) pour venir assiéger le vaisseau par terre et obliger à le rendre aux anglais à peine ? donner quartier à personne, ce que le dit Théodore avait envoyé signifier huit jours avant à Monsieur de LAGE, comme il en a rendu compte à la cour le 24 février, quoiqu’il n’ait été attaqué que le 2 mars, 6 jours après. Le dit vaisseau de Théodore à une lieue. . En I, Polacre dont on ignore la destination. . En J, écueil hors de l’eau, élevé d’un pied, appelé les canadèle ou lagalère. - LES OUVRAGES (classés dans l’ordre chronologique) relatant, à leur façon, l’événement historique cité : . Source 925, pages 70, 71,72 - 74 ; 75 ; 76 qui relate trop brièvement l’événement ! . En 1743, pendant la guerre de la succession d’Autriche, un vaisseau espagnol est jeté au port d’Ajaccio par la tempête ; la flotte anglaise qui le poursuivait vient l’y attaquer ; une lutte terrible s’engage ; le capitaine espagnol, après un combat désespéré qui dure cinq heures, met le feu à la poudrière et fait sauter son navire. La secousse de l’explosion ébranla tellement toute la ville qu’on crut quelques instants qu’elle n’allait plus être qu’un monceau de cendres ; mais grâce à la protection de Marie, qu’on invoqua avec confiance, on en fut quitte pour quelques avaries de peu d’importance causées par les boulets anglais.926, page 411 - image 427/586. . Ambrogio ROSSI 83, 90.- pages 240, 241, 242 (images 243 à 245/364), qui dit avoir été témoin de cette histoire (Vedi questa Storia), affirme qu’après avoir mis le feu aux poudres, le navire a sauté dans un bruit terrible. On a dit que les malades et les blessés ont péri, mais, avant l’explosion, ils avaient été évacués à terre, ainsi que les membres de l’équipage qui ont tenté de rejoindre le Consulat d’Espagne situé sur le bord de mer, mais ils ont essuyé les tirs de mitraille anglais. Le capitaine, voyant cela, est parti se réfugier à Alata avec ceux qui ont voulu le suivre... . Un vaisseau espagnol de 120 canons fortement endommagé, à la suite d’un combat malheureux qu’il venait de soutenir contre les anglais, se réfugia à Ajaccio le 3 mars 1743, et alla mouiller au fond du port, à une petite distance de terre, à peu près à hauteur de l’ancien chemin d’Alata. Il était poursuivi par cinq vaisseaux anglais qui mouillèrent à Capitello, d’où ils observaient leur proie. Le capitaine du vaisseau espagnol demanda protection au commissaire génois, et à défaut, l’autorisation de débarquer à terre avec son artillerie pour s’y défendre. D’autre part, les commandants des vaisseaux anglais menaçaient la ville d’un bombardement, si la neutralité n’était pas observée. Le commissaire génois comprenant qu’il n’avait à intervenir en aucune façon les laissa libres de terminer leur différend par les armes, sous les murs mêmes de la ville. Les navires anglais prirent position près des (rochers) Scoglietti, tandis que le vaisseau espagnol se trouvait envasé au fond du port à peu près à hauteur de la fontaine Saint Jean. Le combat fut violemment engagé ; la ville d’Ajaccio se trouva exposée pendant une demi journée à des dangers réels. Après cinq heures d’une lutte inégale, plutôt que d’amener son pavillon le commandant espagnol fit sauter son vaisseau en mettant le feu aux poudres. Deux vaisseaux anglais reçurent de graves avaries. Les marins espagnols sauvés du désastre, se retirèrent en Ajaccio, le capitaine et quelques hommes se réfugièrent en Alata.927, pages 76,77. . La France et son alliée l’Espagne étaient en guerre contre l’Angleterre et la Hollande. Un navire espagnol se réfugia dans le port d’Ajaccio, au lieu-dit u Marconajo (actuel port Charles ORNANO). Mis à mal par une tempête, il tentait de surcroît d’échapper à la flotte anglaise qui lui donnait la chasse et l’avait fortement endommagé. Son capitaine sollicita des autorités génoises le droit de se défendre contre ses ennemis en débarquant son artillerie. Sans attendre, il tira à boulets contre les bateaux de guerre anglais qui s’ancraient devant la tour de Capitello. Ceux-ci ripostèrent et firent débarquer leurs soldats sur la plage. Le commandant de la flotte envoya au commissaire l’ultimatum suivant : si la ville n’observait pas la neutralité nécessaire, il la bombarderait sans pitié. Très embarrassé, le commissaire fit la sourde oreille. tâchant de gagner du temps et ne pas prendre parti, il ne répondit ni au capitaine espagnol ni au capitaine anglais, il les laissa régler leurs comptes à coups d’artillerie. Le combat acharné dura de longues heures. La ville faillit être rayée de la carte. Les Ajacciens assourdis par les bombardements, terrorisés, se mirent à invoquer avec insistance Notre Dame de la Miséricorde devant sa statuette sur la porte. Ils priaient quand la flotte anglaise, cessant le combat, leva les voiles et regagna le large. Stupéfaits, ils rendirent grâce. Puis ils se précipitèrent pour secourir les Espagnols blessés, vaincus, qui avaient sabordé leur navire plutôt que de se rendre. Il comprirent alors pourquoi la flotte anglaise s’était esquivée, estimant la bataille navale gagnée. Beaucoup de ces marins espagnols, bien soignés et bien accueillis, se fixèrent dans notre cité, y fondèrent foyer et trouvèrent du travail. Le capitaine resta en Corse. Il se maria avec une paysanne d’Alata et eut cinq enfants.140, pages 56, 57. Cette précision est troublante, car nous sommes toujours dans l’impossibilité de vérifier ces affirmations surprenantes, faute d’avoir pu retrouver le moindre document pouvant accréditer cette énigmatique précision !? En effet selon la Source924 citée plus haut, M. de LAGE est revenu à Toulon, où il a été mis au Conseil de Guerre, pour y examiner sa conduite, et par les procédures il conste de la vérité de tout ce qui a été rapporté et que sa Majesté l’absout de toutes les accusations dont les Génois l’avaient chargé, et lui a accordé la permission d’aller à Paris pour trois mois. Pour espérer avancer, il faudrait pouvoir consulter le rôle d’équipage du San Isidoro (San Isidro) en 1743. S’il existe encore, nous ne sommes toujours pas parvenu à le localiser ! En effet, la consultation de la liste de tous les marins à bord, lors de cet événement, permettrait de savoir si l’un quelconque d’entre eux a bien fait souche en Alata, et sous quel Nom !? Le mystère demeure donc entier !!!??? - Ayant obtenu un congé de la Cour de deux mois, et trois mois de Service du Trésorier pour aller aux eaux d’Archena, dans le royaume de Murcie, pour soigner sa goutte, il se rend ensuite à Aranjuez, maison royale. Il alla d’abord chez le marquis de la Enseñada, ministre..., puis chez l’Ambassadeur de France : A la vue de son habit corse, le valet de chambre lui dit que son maître reposait. Il alla ensuite à l’appartement de son S.A.R. Madame l’Infante. Il y fut reconnu par la Dame carmélite qui l’annonça sous le nom d’un Sauvage de l’isle de Corse. Madame l’Infante s’en divertit beaucoup.924 pages 119 et 120, images 145 et 146/178. il se rendit ensuite à Paris, ses premières visites furent pour les Ministres d’Espagne. Il fut présenté au Roi, à la Reine et à la Famille Royale. Il reçu l’ordre de retourner à Toulon où il arriva le 29 janvier 1744. - le 30 janvier 1744, il se rend à bord du Royal Philippe (Real Felipe) saluer Don Juan Joseph (José) NAVARRO qui lui a remis un ordre de la Cour d’Espagne, daté du Pardo du 13 janvier 1744, pour servir sur le Royal. - 13 février 1744 : il embarque sur le vaisseau espagnol Real Felipe de 110 canons commandé par Don José NAVARRO, Chef d’escadre et par MM GERARDIN et de LAGE, capitaines de vaisseaux en second. - 2 mars 1744 - Bataille de Toulon ou bataille navale du Cap Sicié : L'escadre espagnole est mouillée en rade de Toulon. De Court de la Bruyère fut chargé de protéger la sortie de cette escadre forte de 12 vaisseaux avec 14 vaisseaux français de toutes sortes. Il appareille le 29 février et forme 3 divisions. Les Espagnols se trouvent à l'arrière-garde, brise d'est. le surlendemain, la flotte anglaise composée de 30 vaisseaux, 15 frégates ou brulots, mouillée aux Iles d'Hyères appareille. Les Espagnols moins bons marcheurs,sont rapidement à la traîne. L’amiral anglais qui a l'avantage du vent tombe sur eux et comme les vaisseaux espagnols n’étaient pas très serrés ils eurent chacun à essuyer le feu de plusieurs bâtiments ennemis. L'amiral espagnol, Don José Navarro, avec le Real Felipe eut d'abord affaire à trois d'entre eux, mais ayant reçu deux légères blessures il se dirigea vers la cale de son vaisseau pour s'y faire panser. Des officiers français voulurent lui faire honte de sa conduite mais n’y réussirent pas et l'escadre espagnole se vit sans chef. Mais le Real Felipe trouva un intrépide défenseur en la personne du Capitaine de Vaisseau Delage de Cueilly. Quoique complètement désemparé le Real Felipe luttait encore. Un brûlot anglais s'approcha alors, et déjà quelques officiers parlaient de se rendre. Delage fit armer un canot pour le détourner et réussit à lui envoyer 3 coups de canon bien placés, alors qu'il n'était plus qu’à 15 pas, menacé de couler bas, le capitaine du brulot y mit le feu, et ayant juré à son amiral de mourir ou d'incendier l'amiral espagnol, se fit sauter avec. C'est la seule attaque de brûlot que nous ayons à enregistrer au cours du combat, Terminons cette histoire par un petit détail pittoresque : Don José Navarro fut nommé marquis de la Victoria. - 23 septembre 1744 : il négocie avec la France un traité d’armement d’une petite escadre composée de quatre unités attachée au port de Toulon.923 - 15 avril 1745 : il s’embarque sur le Ferme, vaisseau de 74 canons, avec sous ses ordres, son neveu, l’enseigne de vaisseau Jean DELAGE de la VOLUDE - de l’AGE de VOLUDE (qui se verra confié ultérieurement le commandement de la Diane, navire de 32 canons, toujours de l’escadre DELAGE), parcourt la Méditerranée, y réussit quelques bonnes prises, mais des difficultés d’argent et d’équipages, l’obligent à rompre son contrat en 1746.923 - ca 1745, II y a eu une manufacture de faïences à Coeuilly-sur-Marne (commune de Champigny), établie dans les premiers temps du règne de Louis XV, par Gilles-René de Laage, seigneur de Coeuilly, capitaine de vaisseau (Papiers du Contrôleur général, G7 1706, dossier de 1723). - 1751 : Constitution de rente : notaire Jean Louis le Verrier (étude CXVIII), base ARNO 1751 - Armes : Les DELAGE portaient d’or à une aigle éployée de gueules, becquée et membrée d’azur, couronnée de même. Leur papiers de Famille (série 1E), confisqués, sans doute avec ceux de leurs descendants, les d’Angély et de la Salle, en 1793, sont demeurés dans les cartons des archives de la Vendée.923 - B) RUMEUR et/ou TRADITION ORALE : . Un CASALONGA ( CASA LONGA ) *, Capitaine d'un navire espagnol qui fit naufrage en Ajaccio, aurait décidé de s'installer en Alata ? Dans ce cas, ce ne peut être qu'avant 1600, et non en 1743 comme l'a écrit Eric DULIERE, in Nice Corse-Matin du 17 avril 1993, dans un article sur l'étude archéologique des restes superposés de bâtiments de guerre ou de commerce de la marine en bois coulés dans la darse d'Ajaccio. Il est vrai qu’il s’est référé à l’ancien site web perso de l’Association pour la Recherche Archéologique Sous Marine (A.R.A.S.M.) sous la direction d’Hervé ALFONSI. A noter que le site web actuel : http://www.wmaker.net/ARASM/ , n’en fait plus du tout mention !? * Référence alors, à un CASAS-LONGAS ???. Cependant, en Galice il existe bien en effet dans la province de Lugo, sur la paroisse de Santa Baia de Lago (archevêché de Sargadelos) un toponyme CASASLONGAS qui semble être un hameau ! - En l’état actuel de nos recherches, absolument RIEN ne permet d’affirmer que Gilles René de LAGE de CUEILLY se serait marié en Alata, et aurait eu une descendance !!!??? Conclusion provisoire : Il s’agit donc vraisemblablement d’un autre capitaine espagnol d’un navire au nom inconnu dont, jusqu’à présent, on ne trouve aucune trace, et dont la date du naufrage supposé en Ajaccio reste également inconnue !!!??? | ||||||||||||||||||||||||||||||||
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